George Orwell, comme chroniqueur, essayiste ou romancier, tente de faire valoir, à travers l’expérience fondatrice de la guerre d’Espagne, du vécu colonial ou du travail en terrain d’exclusion sociale, une logique vitale du sens commun, à l’encontre des totalisations du consensus.
Comment cette intention de dissensus politique résonne-t-elle dans la pensée contemporaine ?
Alain Brossat / George Orwell ou de l’inconvénient d’être l’inventeur d’un couteau suisse conceptuel
Manola Antonioli / Obsolescence(s) de l’homme : Le Meilleur des mondes, 1984, Matrix
Marco Candore / Les Machines sadiennes : Simulacres, langage, désir de soumission d’Animal Farm à 1984
Corinne Le Neün / Le cochon, un animal politique : généalogie d’une représentation
Philippe Bazin / First and last : de l’influence du document social à l’incidence sur la photo politique
Christiane Vollaire / Hommage à la Catalogne : l’exercice documentaire comme modèle d’une pensée critique de terrain
Jean-Marc Victor / « Comment j’ai tué un éléphant » ou la menace de la netteté
Ce colloque est le 3ème d’une série commencée il y a deux ans à Sétrogran, en partenariat avec Ici et ailleurs :
2011 : Le Baudelaire des philosophes
2012 : Pasolini, à suivre ?
Il fait l’objet, comme les deux précédents, d’une publication coordonnée par Philippe Bazin.
Colloque Orwell, les dissensus du sens commun
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Pour aller plus loin : Centro de investigación mejorada